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Mobilité sociale:
Perles d'étudiant(e)s

 

Mise à jour samedi 18 octobre 2008

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2007-2008

Sujet 1 : Hommes et femmes ont-ils les mêmes chances d’accéder à toutes les positions sociales et d’en changer ?

« Dans les sociétés romaines il y avait une hiérarchie. Le druide était le chef. En ce qui concerne l’égalité hommes/femmes, la société romaine était égalitaire. (…) ensuite et pendant quelques années, les femmes se sont vu retirer leur droit de
travailler et de voter. »

« C’est elle qui porte l’enfant et le met au monde ce qui constitue un risque de congé maternité plus long que pour les hommes ».

« Hommes et femmes sont différents à tous les points de vue, mais le seul point de vue, apparement invariable, c’est le physique. »

« On peut se demander si le biologique ne nous empêche pas d’accéder aux mêmes positions sociales. »

«Un ouvrier qui se marie avec un médecin verra sa position sociale s’élever. Contrairement, un chef d’entreprise se mariant avec un ouvrier fera partie de
la mobilité descendante. »

« Les patrons préfèrent employer des hommes, car ils ne tombent pas enceinte ».

« Les femmes se confortent dans l’idée d’être immobiles et que même si une lutte contre les homes est entée, elles finiront toujours par être perdantes.»

« Ils (les brahmanes) interdisaient l’inceste donc la mobilité sociale se faisait par le mariage. »

Sujet 2 : Qu’est-ce que la fluidité de la structure sociale et toutes les structures sociales existant à travers le monde et à différentes époques (selon le cours) sont-elles également fluides » ?

« En Egypte antique, il y a une tripartition. En effet, nous, l’église et les nobles, ensuite les scripts, les ouvriers ou les comptables et enfin les esclaves. »

« Malgré tout , il y a une mobilité car tous peuvent avoir un commerce. Mais ils sont juridiquement des sous-hommes. »

« des ouvriers se sont mobilisés en constituant une classe propre afin de combattre le capitalisme et permettre une division du travail équitable. »

« L’historicité de la France a un  rôle dans la détermination de la fluidité de la structure sociale.»

« Les acteurs de la structure vont s’opposer à cette fluidité en désintégrant les individus mobiles. »

« La notion de capital qu’il soit culturel, économique ou sociale va avoir une importance au sein des sociétés antiques qui vont se développer et s’industrialiser avec le capitalisme. »

« Une fluidité sociale de la structure est un element modernisant du système des sociétés. »

Sujet 3 : Répondre aux deux questions :
a)    Marx et Weber : proximités et différences en matière d’analyse de la structure des classes.
b)    Quelles sont les différentes formes de mobilité sociale ? Répondre en indiquant chaque fois les éléments altérant la fiabilité de la mesure en la matière.

« Si on choisit le revenu pour mesurer le degré de mobilité (…) en réduisant le nombre d’heures supplémentaires la mobilité diminue. »

« Marx analyse l’Humanité ».

« Ce sont les infrastructures économiques qui déterminent les superstructures, c’est-à-dire les politiciens. »

N.B. : Les erreurs d’orthographe sont d’origine.
 

Département de sociologie

 

Perles 2008 session 1

« Une rigidité moindre permettrait une mobilité plus forte »

« Les changements structurels sont des changements qui concerne la structure de la société. »

« En effet plusieurs structures existent. Tout d’abord il y a la classe sociale qui détermine l’origine, la strate qui est plus abstraite et des castes qui elles sont multiples et sont plus petites que des classes sociales ou bien des strates. »

« Nous pouvons maintenant, avec du travail, passer de la classe populaire à la classe moyenne et de la classe moyenne à la classe dominante. »

« La hiérarchie est la différence de statut, il y a le patron, son adjoint... »



«En effet plusieurs structures existent. Tout d’abord il y a la classe sociale qui détermine l’origine, la strat qui est plus abstraite et des castes qui elles sont multiples et sont plus petites que les classes sociales ou bien des strates. Ces structures favorisent plus ou moins la mobilité sociale dans les pays. Se sont ces structures qui permettent ou non une mobilité.
Dans l’Egypte ancienne par exemple la structure sociale était montante ou descendante.car il y avait des très riches et des très pauvres. La perpétuation des richesses se faisait parfois grâce à l’inceste. Le pharaon pouvait le faire pour laisser le pouvoir à sa famille. La mobilité était donc très faible.
Dans l’ancienne chine il y avait aussi des personnes très riches et très pauvres cependant des luttes de classes étaient déjà présentes ce qui rendait la mobilité possible.
Dans le monde gréco-romain, le pouvoir était très contrôlé. Cette société était esclavagiste et très réglementé. La mobilité pouvait exister si un esclave était affranchi par exemple mais elle restait moyenne.
On observait le même type de fonctionnement chez les amérindiens au moyenne âge ou la mobilité était aussi très moyenne car l’échange entre les 3 principales classes riches, moyennes, pauvres etaient très moyen.
Chez les Celtes cette mobilité était casi-inexistante en effet on observait dans leur société une égalité qui permettait à tous d’être au même rang. Comme tout le monde avait la même place il n’y avait pas de mobilité possible.
La structure qui favorise le plus la mobilité est celle des castes. En effet elles sont très nombreuses et permettent de passé plus facilement d’une caste à l’autre. On observe ce principe de caste en Afrique dans les tribus ou en Inde chez les Brahmanes.
La mobilité est donc favorisée dans les structures inégalitaires. En effet plus une société est riche plus elle est inégalitaire (Chine, Egypte..) et plus elle est pauvre plus elle est égalitaire (Celtes).
La structure la plus favorable à la mobilité sociale est « la caste ».


2de session 2008

Sujet : Quelles sont les conséquences, sur la personne, d’une mobilité ascendante rapide et de forte amplitude ?

« le fait aussi d’arriver rapidement très haut dans l’échelle sociale est un danger pour l’avenir car en quelques sortes à un moment il va s’ennuyer »

« Un autre résultat probable est la “prise de grosse tête”. L’individu mobile peut se sentir beaucoup plus important qu’il n’est. La rencontre de personnes culturellement reconnue et/ou la gestion de somme (economique) importante peut entrener une surestimation de sa propre personne. »

« la personne n’est pas preparée à des responsabilités d’où une pression trop forte des collaborateurs »

« l’individu serait empreint à une perte de repair »

« en ayant cette mobilité rapide, la personne qui l’a connu n’a aucun mérite parce que elle devait sans doute déjà appartenir à une classe sociale qui lui permetter d’être bien placer. Alors que quand une personne connaît une mobilité ascendante progressiste, elle se sent fière car la société lui fait une reconnaissance .»

« Ainsi celle-ci va peut-être vouloir arrêter de travailler. Mais ne risque-t-elle pas de s’ennuyer à la longue ? »

« Un individu occupant cette position peut être amené à une perte des repêrts »

« ce genre de changement hiérarchique et positif se créé progressivement, sinon cela donne lieu à des individus cupide .»

« il faut simplement se méfier des retours de flamme »




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